J'ai aimé lire ce jeu de rôle car même si son contexte est guerrier et militaire, nous sommes dans une optique bien différentes des canons habituels du genre. Ici pas de "gun porn" pas de body count, etc. Le propos ici est bel et bien de se concentrer sur le soldat en tant qu'individu et sur les effets psychologique de sa participation à un conflit. Toute cette optique est omniprésente dans le jeu jusque dans son système. Accessoirement comme tous les jeux que j'ai pu lire chez les Livres de L'Ours c'est très bien écrit et toujours clair en plus d'être illustré avec goût, ce qui ne gâche rien. Par contre très honnêtement, je ne sais pas si en tant que MJ, j'aurai les épaules assez large pour mener une partie de Shell Shock afin de pouvoir amener le propos visé de manière suffisamment subtile et sensible. Pour moi un vrai défi pour ne pas entrer dans la caricature grossière.
Un petit extrait du carnet de MJ de Brandish Gilhelm, posté sur Facebook, aller voir ses oeuvres sur Runehammer Online Lorsqu'on visualise une partie de JDR "classique", généralement on visualise une tablée avec du papier et des crayons, des dés de formes étranges, une petite collation et surtout des gens autour de tout ça. Le jeu de rôle c'est souvent un loisir social. Pourquoi souvent ? Parce qu'il existe également une pratique en solitaire, peu mise en avant jusqu'à présent en francophonie qui permet comme pour le jeu de société, de pouvoir jouer lorsqu'on a pas un groupe sous la main. Il s'appuie sur des mécaniques de jeu, généralement simples qui permettent de contrecarrer l'absence d'autres participants. Mais pourquoi jouer seul me direz-vous ? Les raisons sont multiples, au moins autant que pour jouer une partie à plusieurs : - Pour créer et bricoler : Créer et stimuler son univers de jeu, réagir aux surprises que le système met
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