A la base, il faut être clair, je ne suis pas du tout le public habituel des essais philosophiques, sociologiques et compagnie, mais l'histoire de ce monsieur destiné à devenir un énième consultant de think tank qui ouvre en atelier de réparation de moto ancienne m'a intrigué. Il en profite, à travers l'évocation de son parcours pour partager ses réflexions sur l'évolution du Travail, la place de l'individu à l'intérieur et son impact sociétal. Il reste toujours clair et passionnant même si les notions abordées ne sont pas toujours évidentes. Une respiration, le temps d'une réflexion bien venue alors qu'aujourd'hui la seule notion qui semble compter est la reine flexibilité. A conseiller vivement à tous les encadrants dans le monde de l'entreprise, à tous les niveaux de responsabilité.
Un petit extrait du carnet de MJ de Brandish Gilhelm, posté sur Facebook, aller voir ses oeuvres sur Runehammer Online Lorsqu'on visualise une partie de JDR "classique", généralement on visualise une tablée avec du papier et des crayons, des dés de formes étranges, une petite collation et surtout des gens autour de tout ça. Le jeu de rôle c'est souvent un loisir social. Pourquoi souvent ? Parce qu'il existe également une pratique en solitaire, peu mise en avant jusqu'à présent en francophonie qui permet comme pour le jeu de société, de pouvoir jouer lorsqu'on a pas un groupe sous la main. Il s'appuie sur des mécaniques de jeu, généralement simples qui permettent de contrecarrer l'absence d'autres participants. Mais pourquoi jouer seul me direz-vous ? Les raisons sont multiples, au moins autant que pour jouer une partie à plusieurs : - Pour créer et bricoler : Créer et stimuler son univers de jeu, réagir aux surprises que le système met...
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